Vie quotidienne Riobambeñienne...
(Extrait)...
... Il faut dire que le dimanche semble etre une journee dediee a la famille par ici. Rien d'ouvert, sauf le stade. Va pour le stade. Partie enlevante (?) entre le Olmedo de Riobamba et le ? de Cuenca, un peu plus au sud. 1-0 a la mi temps. Failli rester au meme score et avoir un vieux partisan de Cuenca sur mon epaule lorsque, par miracle, un evenement survint. Dans une folle envollee, le numero 11 de Cuenca file vers le but adverse avec verve et talent, quand, a son grand dam, perd le controle du ballon, fin seul, passe par-dessus et je ne sais trop comment, tombe sur lui-meme et semble s'etre fracture la machoire : Est sorti sur une civiere dans l'hilarite generale, pauvre bougre... Triste histoire. L'equipe locale a finalement gagne par un autre but, mais c'est sans importance.
Revenu a la maison tranquillement ensuite par les rues principales desertes de cette ville qui tient plus d'un village qu'autre chose. Les seuls passants etaient moi ainsi que quelques autres gringos qui ne connaissent pas la coutume ici stipulant qu'on ne fait rien le dimanche... (Ou presque!)
Apres midi tranquille donc, par la force des choses, a lire, jouer la guitare, regarder un film sur Pablo Neruda, tres inspirant par surcroit (Il postino - Suggestion !!) avec la Natalia, la plus jeune et la plus degourdie des trois filles qui, semble t-il, comprends tout ce qu'on lui dit tres rapidement, a l'instar de ses deux soeurs et de sa mere. Tient plus de son pere, la petite. (Ici, on dit LA Natalia, comme on dirait le Eric, la Marilou... On m'appelle d'ailleurs El Teo ! ...Local!)
... Il faut dire que le dimanche semble etre une journee dediee a la famille par ici. Rien d'ouvert, sauf le stade. Va pour le stade. Partie enlevante (?) entre le Olmedo de Riobamba et le ? de Cuenca, un peu plus au sud. 1-0 a la mi temps. Failli rester au meme score et avoir un vieux partisan de Cuenca sur mon epaule lorsque, par miracle, un evenement survint. Dans une folle envollee, le numero 11 de Cuenca file vers le but adverse avec verve et talent, quand, a son grand dam, perd le controle du ballon, fin seul, passe par-dessus et je ne sais trop comment, tombe sur lui-meme et semble s'etre fracture la machoire : Est sorti sur une civiere dans l'hilarite generale, pauvre bougre... Triste histoire. L'equipe locale a finalement gagne par un autre but, mais c'est sans importance.
Revenu a la maison tranquillement ensuite par les rues principales desertes de cette ville qui tient plus d'un village qu'autre chose. Les seuls passants etaient moi ainsi que quelques autres gringos qui ne connaissent pas la coutume ici stipulant qu'on ne fait rien le dimanche... (Ou presque!)
Apres midi tranquille donc, par la force des choses, a lire, jouer la guitare, regarder un film sur Pablo Neruda, tres inspirant par surcroit (Il postino - Suggestion !!) avec la Natalia, la plus jeune et la plus degourdie des trois filles qui, semble t-il, comprends tout ce qu'on lui dit tres rapidement, a l'instar de ses deux soeurs et de sa mere. Tient plus de son pere, la petite. (Ici, on dit LA Natalia, comme on dirait le Eric, la Marilou... On m'appelle d'ailleurs El Teo ! ...Local!)
1 Comments:
Merci de me faire voyager comme tu le fais. Depuis mon retour d'Écosse, mes pieds brulent de ne plus fouler les rues étrangères.
Un petit sursis plus qu'apprécié
Do (ex Lozeau du camp dans le nord qui n'est jamais revenu)
Ho (avec trompet)
By Anonyme, at 2:33 p.m.
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