Teo en Ecuador...

mercredi, août 31, 2005

Destin, Uyuni et Potosi...
Ouais, c'est vrai que la vie recele bien des surprises... C'est ainsi et on y peut rien. Cette fois le destin a ete le plus fort (C'est rare que je le tient en ligne de compte, celui-la!), malgre la chance qu'on s'est donne... La dame du Lou poursuit donc son chemin a travers l'Argentine (Avec moi en pensee... Ca ne pourrait pas etre autrement!), et je suis pour ma part a Potosi, petite bourgade miniere de la Bolivie centrale, tristement celebre pour le nombre de mort ahurissant dans ses mines, pendant la conquete espagnole. 7 millions pour etre precis. Rien pour recrinquer, mais foutrement interessant...
Reviens d'un sejour de 4 jours dans le desert de sel, avec ses paysages a couper le souffle et completement surrealistes et... son froid! Incroyable, meme si j'avais un peu l'impression de pas y etre tout a fait, ce qui est normal, je crois. Vous pouvez voir quelques images ici-bas.
Bon... Voila pour...maintenant ?
Je me represente bientot!
Ho!
Ty


El arbol de piedra... Notez la ressemblance! En plein coeur du desert...


Sources d'eau thermales, donc approprie de s'y baigner (36 degres!), de bon matin, par une temperature exterieure d'a peu pres moins 5 ou 10 celcius!!!


La Laguna Verde qui, a defaut d'etre rouge, est verte... (Je dois arreter de faire de tels commentaires.)


Laguna Colorada, d'une rouge intense par la faute des algues qui la peuplent...


Petit garcon traversant la rue dans le village perdu de San Juan, en plein coeur du desert, ou nous avons couche la premiere nuit.


Le desert de sel de Uyuni, dans le sud de la Bolivie. Paysages completement surrealistes.


Desert blanc, ciel vraiment bleu et camion vert...


Eolienne dans le desert, pas trop loin d'un hotel fait entierement en sel... Un peu le penchant de notre hotel de glace!

lundi, août 22, 2005

Nous portons une ame que nous ne reconnaissons pas et sommes portes par elle. Quand l'enigme se tient sur deux jambes sans etre resolue, c'est a notre tour. Quand les images de reves se pincent elles-memes le bras sans se reveiller, c'est nous. Car nous sommes l'enigme que nul ne devine. Nous sommes l'aventure enfermee dans sa propre image. Nous sommes ce qui marche sans jamais arriver a la clarte... Peut-etre.
Maya
Jostein Gaarder

dimanche, août 21, 2005

La Paz ou la paix!
Dans a peine quelques heures, La Dame du Lou vient faire son tour en Amerique du sud, afin qu'on puisse poursuivre ce parcourt delicieux a travers les contrees du sud. Suis arrive a peine aujourd'hui a La Paz, lieu de rencontre perche a quelques 3700 metres, plus haute capitale du monde, en faisant exception peut-etre de la capitale (Qui malheureusement n'en est plus une officiellement...) du Tibet. On m'avait averti de faire attention et de prendre un peu plus de temps que necessaire afin d'arriver a La paz. Et bien rarement eut un vayage plus facile! D'Arequipa a La paz, se sont ecoulees pas plus de 12 heures, avec en prime une nuit passee dans un bus, avec peruviens et boliviens melanges, blaguant et rigolant, tous ne voulant pas sortir dans une bourgade qui n'existe somme toute que pour la douane qui s'y trouve (Desaguadero, pour la nommer...), et a 2 heures du matin, pas grand chances de trouver grand choses! Me suis extrait du bus vers les 6 heures du matin, moins 5 ou moins 10 degres m'y attendaient! Un petit rappel que je me trouve a haute altitude, sur l'Altiplano bolivien, aux berges du mystique lac Titicaca. (Qu'on le veuille ou pas, cet endroit a un charme et une attraction differente du lac des deux montagnes...!) Traverse les douanes comme on traverse... une feuille de papier ? (Je pense a Burt, la...!), ce qui detonne tout autant des infos que j'avais recus sur ce lieu de transit, "Unscrupulous and corrupted", disait mon guide Footprint. Rien que des sourires et des "Bienvenido en Bolivia!", ce qui rechauffe, par ces temperatures de canards!


Sur un autre registre, dans la chambre d'hotel de La paz ou je loge depuis ce matin, le plafond est fait de toile de coton (Ce n'est pas le toit a proprement parle, mais plutot l'entre-toit...), les pigeons s'en donnent a la joie du coeur! On a droit a roucoulements, pietinements et bruits de toutes sortes... C'est typique et probablement rustique, comme semblent l'etre la ville dans son entierete. En comparaison a l'organisation quasi parfaite de la ville de Quito et ses trams, ou de l'urbanite chaotique de Lima l'immense, les rues de sable et poussiere de La paz detonnent, ce qui fait du bien et, pardonnez le jeu de mots pitoyable, fait redescendre sur terre!

La dynamique semble etre particuliere. Bien differente des autres grandes villes ou j'ai mis les pieds. L'altitude se sent, les moeurs des indigenes Aymaras, omni-presents partout, comme pouvaient l'etre les indigenes Kichwas a Riobamba en Equateur, sont grandement responsables de cette ambiance mysterieuse, comme peuvent etre silencieux et reserves les indigenes de la Sierra centrale de tous les pays andins... Vie discrete, mais combien passionnante lorsque grattee legerement, juste pour lever le voile, pour apercevoir...

Quitte hier deux bons franc copains de route avec lesquels j'aurai passe quelques 5 jours, a Colca et Arequipa. Yon le Basque, avocat politique de 41 ans habitant Donostia (Demande si par hazard avait pas rencontre un grand blond venant du Quebec, et y semble que non...!) et Barbara, Parisienne joviale qui n'en est pas une (A mon avis, Barbara...!) et vivant depuis quelques annees en Chine... De beaux moments, simple et francs... C'etait bien de faire quelques pas ensemble, tous trois sur la touche, voyageurs solitaires qui se comprennent dans leur silence complet et pensif... Et maintenant les chemins divergent, c'est ainsi et faut pas s'en faire!


Je reviens de quelques jours passes au plus profond du canyon del Colca avec ces deux comparses, lieu qui, semblerait-il, est le plus profond canyon au monde... Je dois admettre qu'une certaine frousse s'emparait inexplicablement de moi lorsque je me prenais a regarder au fond, et une certaine force malefique et dense qui probablement voulait ma mort me disait tout bas a l'oreille : "Vas y, plonge, c'est plaisant, tu vas voir...!" C'est probablement ce qu'on appelle le vertige! C'etait quelque peu destabilisant!

Tant qu'a etre dans un des lieux les plus epuisants au monde question randonnee, pourquoi pas tester notre resistance ? Ce fut la descente, vertigineuse, de 1500 metres et des poussieres, 3 heures et demi, apres remontee, redescente, pendant 7 heures ! Recompense : Oasis (source d'eau chaude) et feu de camp avec des gens bien d'un peu partout dans le monde pendant 1 jour et demi en bas! Passes par des villages tellement coupes de l'univers qu'on peut reconnaitre comme le notre, que pas meme une route carossable ne les rejoint. Il leur faut obligatoirement descendre et remonter le canyon en question pour se ravitailler. Les villages de San Juan, Malata et cie n'ont, de toute evidence, de l'electricite ou de l'eau courante qu'une connaissance eloignee geographiquement... Et inutile de dire que pour les locaux, notre effort physique faisait pietre figure...! Sans compter qu'y fallait remonter apres, comme toute chose dans le grand monde rationnel de la nature : tout ce qui descend remonte obligatoirement un jour!! (?)

Voila Voila... Les nouvelles fraiches. Je penses etre, demain ou apres demain, le dernier representant du groupe de 5 amis equatoriens en terres du sud... bon retour, les dames, et vous souhaite pas trop de turbulences!! (HeHeHe!) Allez boire une biere a ma sante, les quatres!!!

Donc vous tiens au courant, et la prochaine fois que vous entendrez parler de mes mesaventures, ce ne sera plus seul que je les vivrai!!!

De bons moments!

Ty

Ugo, tu vas rire, mais j'aurais aime etre avec toi pour ces aventures... c'est toujours les meilleures a raconter! (Et a vivre les plus... vivifiantes??)

samedi, août 20, 2005

Pendant ce temps, au Perou...

Juste un petit moment avant de prendre le bus pour La Paz et rejoindre La Lou (C'est fou, apres presque 4 mois!), j'ai pris le temps d'inclure quelques photos de mes derniers evenements. On y retrouve... Ben, vous verrez bien!
Ho!
Ty


Vue de l'impressionant Canon del Colca, 3000 metres de profondeur a certains endroits. Nous y sommes restes quelques 4 jours a se promener dans d'epuisantes mais fort splendides randonnes. J'ai encore mal aux jambes. Tout au fond trone un oasis avec sources d'eau chaudes et gens bien sympathiques, avec lesquels il se prit quelques boissons autour d'un feu rechauffant. (Nuit : 5 degres en moyenne.)


Dans l'autobus, ou nous etions assis a l'avant, avec le chaffeur et son aide habituel, tronaient aussi une femme et sa petite fille, dont pris soin Barbara, une amie francaise rencontree a Arequipa, et avec laquelle suis alle dans la Canon del Colca. Nous etions accompagnes aussi par un sympathique Basque nomme Yon.


Un de ces petits oiseaux, le grand condor, 3 metres d'envergure environ... La cruz del Condor!


Fiesta pour la fondation de la ville d'Arequipa, le 15 jullet passe. 475 ans d'existence, fetees par un defile qui defila jusqu'aux legeres heures du matin...


Geranium sur fond orange au Monastere d'Arequipa, un des plus vieux d'Amerique du Sud, et ou vivaient 400 soeurs totalement coupees du monde jusqu'en 1970, date de son ouverture au public. Une ville dans la ville.


Fenetre au coeur du monastere d'Arequipa, tout au sud du pays.


Petit cimetiere dans le desert pres de Nazca...


Les mines d'or de Nazca, au sud de Lima, ou les ouvriers traitent et rafinnent encore le metal avec du mercure. Dangeureux.


Pas beaucoup de photos de Lima, mais celle ci vient de son fond. Des catacombes de la cathedrale de San Fancisco, trainait une vierge eclairee par un petit lampion, et voila ce qu'en photo elle donne.


Zaruma, dans le sud du pays... Interessante geographie!


Zaruma, ville en pente et plutot agreable... (C'est en Equateur)

vendredi, août 12, 2005

Pérou et cie...
En direct du Perou dis-je, arrive depuis seulement quelques heures dans ce pays de reves et de mysteres... Imaginez qu'on y paye meme en soleils!! (Sols) (J'aime l'idee!)
Mancora. Village du pacifique anciennement de pecheurs, nouvellement de colonisateurs neo-hippies, mais tranquilles et ma foi fort respectueux a ce que je peux voir... Premier pas dans ce nouveau pays, paysage remodele, modele a coller... (?)

Fini l'Equateur et sa Sierra centrale, ses indigenes discrets et genes, completement figes quelques fois devant une Sony PD-150! (Comprehensible). Sa geographie relativement simple mais condensee a un point tel qu'on peut avoir de tout dans un pays gros comme une bine! Deux mois de vagabondages et de constructions auront suffis a me donner une image de ce pays plus qu'impregnante, vers lequel je redirigerai certainement mes pas dans un futur imparfait!

Moi ben je continue ma route, meme si ca devient etrange de continuer seul pour un petit bout. Je suis habitue aux voyages solitaires, mais c'etait ya longtemps, et j'etais depuis maintenant 3 mois entoure de la presence de mes amis de la-bas, et me voila (Pour pas longtemps, je l'admets... La dame du Lou venant en ces contrees lointaines le 22 de ce mois exactement, a La Paz!!!!!!!!) seul en ces routes. C'est pas plus mal, et franchement, j'ai pas de quoi m'en ennuyer !!!

Je me dirige tranquillement vers le sud du pays, chemin faisant, Trujillo, Huanchaco, Lima l'inevitable, Arequipa (En sautant Cusco pour tout de suite, retour prevu avec la Lou...) et j'en passe...

"On s'est dit bye" pour l'ultime vraie fois, avec les aminches, a Vilcabamba, un petit village du sud de l'Equateur reconnu pour les vertues therapeutiques de son eau de roche... Ca doit pas etre pour rien qu'il y a la-bas kek hommes et femmes qui ont au-dessus de 100 ans... C'est une chance que j'etais la-bas, en outre. Si j'avais ete ailleurs, ca aurait probablement ete l'hecatombe sanitaire!! Dans ma journee de cheveauchee sur Saddam (Mon canasson gagneur de competition qui aime par-dessus tout courrir!... Les autres se nommaient originalement Che, Kadhafi, Fidel...) j'ai ete pris d'un etrange malaise a la tete, que j'ai instantanement mis sur le dos des pilules prises le matin meme... (Facile!) J'avais ete voir le doc a Cuenca la veille, question de crampes au ventre occasionnelles et franchement desagreables, et celui-ci, dans sa probable ignorance de mon probleme, m'a prescrit non-moins que 4 medicaments!! Que j'ai acceptes sans poser de question, innocent... J'ai donc pris le tout le matin avant le canasson, et par la suite, j'ai failli en perdre la vision!! (C'est vrai, je voyais du blanc partout...!) Pas d'inquietude, c'est maintenant revolu et ma vision est tout a fait retablie! (Quoique la peripherique est en ce moment probablement un peu affectee due aux quelques boissons legerement alcoolisees que j'ai pris ce soir...!)

Apres Vilcabamba, me suis retrouve dans un p'tit village de montagnes nomme Zaruma, derniere etape avant le Perou. Ce genre de lieu etrangement fait, etabli la surement par la folie momentanee de se dire "On est capable de se construire une maison la, je vous dit!" Du type a entrer par l'avant au premier etage et a sortir par l'arriere au troisieme, ou au deuxieme sous-sol, c'est selon! Truffe d'escaliers, de marches tourtueuses, de ruelles sans droits, de pietons (Ya que ca, pas le choix!)...

Maintenant le Perou! Et nous somme en Aout. La fin du projet s'est bien terminee, et maintenant le voyage en Bus!! Tout se fait en bus ici. Pas df'autre moyen! Parfois dangeureux, mais toujours divertissant, avec ses films de serie B americains mettant en vedette soit Chuck Norris dans son eternel role de veteran fini du Vietnam, ou bien Jean-Claude Van Damme dans son non-role de veteran fini tout court. Donc une bonne distance a parcourir. J'vous tiendrai pas trop au courant, question de pas tout gacher...

Bon... m'en va aller voir si le petit ocean pacifique voudrait bien pas me lecher les pieds... (Maudite affaire!)
A la suite!
Ho!
Ty



Chronique du chialage généralisé...
"...Mais ca m'enerve, merde!!"
Sur les routes depuis un bout de temps deja en Amerique du sud, et pour avoir observe certains comportements, j'en retire un jugement legerement totalitaire sur certaines de mes experiences ici-bas... Voyez par vous memes!
La monnaie! Ici (J'entends par "ici" l'Equateur et le Perou, jusqu'a date!) impossible de se faire donner de la monnaie pour quelconque achat que ce soit. Simple exemple, je voulais pas plus tard que la semaine passee acheter du pain. Suis donc alle dans une tienda ou ils vendent du pain, et j'ai demande du pain! 4 petits pains pour 1 sol. (30 cents!) J'avais une monnaie de 5 sols (Une petite monnaie ressemblant a notre 2 dollars, mais valant plus ou moins 1.50$), et rien a faire, je devais laisser les pains la, car c'etait presque une insulte que de penser a payer avec une si grosse coupure, non mais!
La troublante mendicite! Difficile... Mais des fois simplement rien a faire! Souvent des enfants qui viennent a toi dans de bonnes intentions et te proposent leurs denrees en te disant "Cheval" (mot obscure qui ne veut surement pas signifier un canasson et dont je m'efforce encore de verifier le sens...), en l'occurence souvent de la gomme, toutes sortes de gommes! Ils ont la conscience commerciale, d'ailleurs, car on peut voir qu'on ne court aucuns dangers a macher cette gomme : Plusieurs exemplaires y sont souvent present dans la bouche dudit mome, controle de qualite oblige, testant par le fait meme (Tant qu'a faire!) la capacite de leur bouche a en engouffrer une quantite phenomenale, les faisant saliver tant qu'ils en gouttent jusqu'au plancher! (Ummmm!)
Les directions (Le pire!) Ici, c'est pas comme la-bas...(Pourrais-je etre plus clair, s'il vous plait, merci!) C'est a dire que chez nous, par exemple, lorsque qu'un touriste ou un local completement perdu en vient a questionner ses semblables sur les bonnes directions a prendre, on s'efforce gentillement de repondre a sa demande, SI ON SAIT LA REPONSE! Sinon, on ira pas l'empetrer dans un bordel pire que celui dans lequel y se trouve, non ? Ben, ici, la typique reponse aux demandes frequentes de directions est souvent la generalisee "Dos cuadras...!" (Deux coins de rue!) Ceci dit meme si ils n'ont pas la moindre idee de ce qu'on recherche vraiment... Pire, il m'est arrive, a Machala, dans le sud de l'Equateur, d'entrer dans une boutique (En l'occurence une papeterie, ou ils vendaient des cartes geographiques, entre autres!) afin de savoir le nom de la prochaine rue tranversale... Je cherchais la station de bus... Et ben pas la moindre idee! Les 3 employes de la boutique ont en plus rit en choeur de ma question, comme s'ils s'etonnaient grandement que je puisse croire qu'ils puissent avoir la reponse... J'ai su finalement par un agent de securite salutaire arme d'un fusil calibre 12 que la rue que je cherchais n'etait autre que la rue qui bordait la papeterie... Ya des choses que je toruve incroyables, des fois!
Ce qui est le plus surprenant, par surcroit, est de voir que les locaux croient tout a fait la personne qui hesite en donnant des directions tout en sachant sans doute que ces directions sont fausses... Lorsqu'une personne tente de repondre en commencant par : "A ver..." (En l'occurence : Voyons voir...!) tout en conseillant de continuer tout droit en pointant vers la gauche, ces locaux risquent d'aller tout droit (Sais pas pourquoi y n'ont pas choisi la gauche...), tout en etant certains de devoir recommencer le processus dans a peine 2 minutes... Sidere suis-je quelques fois!
Le peu de flexibilite linguistique! Lorsqu'un anglophone se rend au depanneur dans un des quartiers ou il n'a aucunes chances de se faire repondre en anglais a Montreal et demande : "Poussuis-jeu awor une pack de cigaret, please?" On comprends facilement que le type veut son paquet de cloppes et sortir aussi vite qu'il est entre... Ici, si le mot exact n'est pas mentionne, aucunes chances de se faire comprendre. Par souci d'exemplifier, si je dis VajiLLa au lieu de VajiDJa (Ce qui veut dire vaisselle... notez que la difference est minime...), ils vont me regarder avec des yeux tellement interrogateurs qu'aucunes hypotheses meme d'interpretation correcte de leur part fait partie du grand univers des possibles.
Finalement, les rues...! Danger. Ici, la technique "Y vont s'arreter de toute facon..." en traversant la rue au feu rouge, ne fonctionne pas, comme a Montreal. Ca ressemblerait plus ici a la technique "Y vont s'arreter de tou..." Sensations garanties.
Bon fini pour le chialage, et j'espere que vous m'en voudrez pas trop! Je rajoute qu'evidemment, ce sont tous ces particularismes qui font le charme de l'endroit ou je me trouve en ce moment, et y vont drolement me manquer lorsque je n'y serai plus, croyez moi!!!
Ty